Lorsque son récit autobiographique paraît en 1971 à Francfort, dans une maison d'édition issue de l'émigration blanche réactionnaire, la socialiste-révolutionnaire russe Ekaterina Olitskaïa en est « consternée » : après quarante ans de prison, d'exil et de camp, elle n'a rien renié de son idéal. Elle (...) (...)
Site référencé: Le Monde diplomatique
Le Monde diplomatique
Au bon vouloir des procureurs
24/09/2025
La fatalité de l'or au Surinam
24/09/2025
Entre Kiev et Moscou, l'enjeu du nucléaire
23/09/2025
L'Ukraine et ses faux amis
23/09/2025
En Russie, le mot « guerre » n'est plus tabou
23/09/2025
En Chine, la classe moyenne a besoin d'être rassurée
22/09/2025