Clémentine (prénom d’emprunt) est endettée de 34’000 francs. Elle travaille comme vendeuse à temps plein pour un salaire de moins de 4000 francs net et parvient à peine à joindre les deux bouts. Comme elles, beaucoup de personnes endettées n’arrivent pas à sortir d’une spirale infernale, mettant en péril (...)
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Le Courrier (Suisse)
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