« Ma cellule n’était pas dans cet état de propreté irréprochable dans lequel j’avais jusque-là coutume d’évoluer. J’avais bien demandé au gardien de me fournir un karcher afin d’effacer au mur les dessins obscènes qu’avait laissés derrière lui Patrick Balkany, mais cela me fut catégoriquement (…)
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