«Manger un simple plat de pâtes en famille relève du luxe pour nous, alors que c’est normalement un repas bon marché», confie Bérénice Mathez Amiguet. Si les penne et les fusilli pèsent lourd dans le budget de cette Veveysanne, c’est parce que sa fille Maelle, 16 ans, est atteinte de la maladie cœliaque. (...)
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