«Manger un simple plat de pâtes en famille relève du luxe pour nous, alors que c’est normalement un repas bon marché», confie Bérénice Mathez Amiguet. Si les penne et les fusilli pèsent lourd dans le budget de cette Veveysanne, c’est parce que sa fille Maelle, 16 ans, est atteinte de la maladie cœliaque. (...)
Site référencé: Le Courrier (Suisse)
Le Courrier (Suisse)
Lettre ouverte au Conseil fédéral pour Gaza
28/05/2025
Obligation d’étiqueter les pratiques douloureuses sur les animaux
28/05/2025
Bataille sur les salaires
27/05/2025
Des soins toujours pas valorisés
26/05/2025
Mieux soigner les femmes
26/05/2025
A Berne, la rue accuse
25/05/2025