Il n'est pas raisonnable d'aimer les romans maritimes. Ils sont hérissés de termes techniques, parlent beaucoup météo, ont un penchant marqué pour l'héroïsation du chef, et puis, la mer toujours recommencée, on peut s'en lasser assez vite. Sauf que, précisément, la confrérie des amoureux de Robert Louis (...)
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