Une équipe de supposés bras cassés à la barre « Je ne savais pas », « je n’avais pas été prévenu », « il faudrait demander à untel »… Les prévenus ou les témoins qui ont défilé à la barre cette semaine dans le procès du financement libyen supposé de la campagne de Nicolas Sarkozy ont rivalisé d’inventivité pour se (...)
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