«C’est un champ de bataille (…) Là où j’étais stationné, entre une et cinq personnes étaient tuées chaque jour. Elles sont traitées comme une force hostile: aucune mesure de contrôle des foules, pas de gaz lacrymogène, juste des tirs à balles réelles avec tout ce qu’on peut imaginer: des mitrailleuses (...)
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